
Les titres
Frederick - Dancing Barefoot - So You Want to Be a Rock 'n' Roll Star - Citizen Ship - Seven Ways of Going
Broken Flag - Wave - Revenge - Hymn
FREDERICK
Eh, salut, sors de ta léthargie,
Dieu t’a donné une âme pour que tu gardes
Tout ce pouvoir qui brûle dans la flamme,
Et qui propage la lumière dans un seul nom,
Frederick, prénom de mon affection.
Endormie dans une chambre, quelque part,
Les anges gardiens me font un lit
Et répandent leur lumière sur ma tête endormie.
Je suis une porte d'entrée, avide de chanter
Et d’accompagner les danseurs dans leur ultime jeté.
Voici le moment où tu m’as salué,
Où tu viens dans mon esprit,
Es-tu prêt ? Allons-y !
Hi hi, hey hey
Peut-être un jour je reviendrai
Mais ce soir, je suis sur les ailes d’une colombe,
Tout là-haut, sur les terres de l’amour.
Je m’allonge pour dormir,
Je prie le Seigneur que mon âme puisse garder
Ces échanges de baisers, de ces souffles expirés.
Mon âme s’abandonne, sidérée jusqu’à la mort.
Cette nuit de merveilles, nous devons la conserver,
Mettre nos voiles, canaliser les profondeurs.
Après l’extase, deux cœurs s’unissent,
Le mien s’emmêle pour ne faire qu’une pulsation.
Frederick, c’est toi que j’ai choisi
Dans notre voyage d’un soleil à l’autre.
Tous les rêves dont je me languissais
Ce soir prennent leur envol, loin, si loin.
Bye bye, hey hey
Peut-être un jour nous reviendrons,
Mais ce soir, nous sommes sur les ailes d’une colombe
Tout là-haut, sur les terres de l’amour.
Frederick, prénom de mon affection.
Très haut, dans ce ciel si clair
Toutes les choses dont j’ai rêvé
S’expriment dans ce prénom de l’amour.
Bye bye, hey hey
Peut-être un jour nous reviendrons,
Mais ce soir, nous sommes sur les ailes d’une colombe
Tout là-haut, sur les terres de l’amour.
DANCING BAREFOOT – Je danse pieds nus
Elle est la bénédiction
Elle est accro à toi
Elle est le lien à la racine
Elle est connectée à lui.
Je ne sais pas ce que je fais là
J’ai chuté tant de fois
Serais-je sous son emprise ?
Je danse pieds nus
Je me prépare à une pirouette
Une étrange musique me transporte
Me fait l’effet d’être sous héroïne.
Elle est la sublimation
Elle est l’essence de Toi.
Elle est concentrée sur lui,
Qu’Elle a choisi.
Je ne sais pas ce que je fais là
J’ai chuté tant de fois
Serais-je sous son emprise ?
Je danse pieds nus
Je me prépare à une pirouette
Une étrange musique me transporte
Me fait l’effet d’être sous héroïne.
Elle est la re-création
Elle, intoxiquée par Lui.
Elle a la douce sensation
Qu’il est en lévitation avec Elle.
Je ne sais pas ce que je fais là
Je tourbillonne sans arrêt
Jusqu’à en perdre mon sens de gravité.
Je danse pieds nus
Je me prépare à une pirouette
Une étrange musique me transporte
Me fait l’effet d’être sous héroïne.
Oh, Seigneur, je suis tombée pour Toi.
Le scénario de nos vies transpire comme un visage dans l’obscurité
Le mystère de la naissance, de l’enfance-même,
Des visitations de tombes.
Quel est cette chose qui nous appelle ?
Pourquoi devons-vous prier en criant ?
Pourquoi la mort ne peut-elle être redéfinie ?
Nous fermons les yeux, nous tendons les bras
Et tournoyons contre une paroi de verre
Une affixation, une fixation sur du vent,
La ligne de vie, le membre d’un arbre
Ses mains à lui, et la promesse
Qu’elle est bénie entre toutes les femmes.
Oh, Seigneur, je suis tombé pour Toi.
Oh, Seigneur, je suis tombé pour Toi.
Oh, Seigneur, je suis tombé pour Toi.
SO YOU WANT TO BE A ROCK’N’ROLL STAR
Tu veux être une rock star
Alors comme ça, tu veux devenir une rock star ?
Alors, écoute bien ce que je te dis
Va te procurer une guitare électrique
Et prends du temps pour apprendre à en jouer.
Quand tu auras la bonne coupe de cheveux
Et des pantalons serrés,
Tu seras prêt.
Il sera temps que tu ailles en ville
Voir un agent, qui veillera bien sur toi.
Tu vends ton âme à la maison de disques,
Ils n’attendent que ça, de vendre des galettes en plastique.
Et d’ici quelques semaines,
Si tu rentres dans les charts,
Les filles te mettront en miettes.
Tout ce que tu ramasses pour ces puissants et cette gloire
N’est qu’un jeu vicieux, tu deviens un peu cinglé
Tu n’obtiens que les applaudissements du public
N’oublie pas qui tu es, tu es une rock star.
Na, na-na-na-na
Na-na-na-na-na-na
Na-na-na
Oh, il faut que je te dise,
Je te promets d’être honnête
Je serais honnête, je te serai loyal, je te serai loyal
Quels est le prix à payer
Pour tous ces puissants et cette gloire ?
C’est un jeu malsain, tu deviens un peu cinglé,
Tu deviens un peu cinglé.
Eh toi, viens par ici, debout !
Ah, c’est le lieu où tout le monde créé.
Vous me reconnaissez ?
On m’appelle verre brisé
C’est à cause du son.
C’est quoi le prix à payer
Pour tous ces puissants et cette gloire ?
Ahh, tu es un peu cinglé,
Un peu cinglé, un peu cinglé.
Et qu’est-ce que tu récoltes ?
Les applaudissements du public
N’oublie pas qui tu es,
N’oublie pas qui tu es,
N’oublie pas qui tu es,
Tu es une star du rock !
HYMN – Hymne
Quand je suis tourmentée, dans la nuit
Il vient me réconforter.
Dans l’obscurité il me désire
Et l’enfant insignifiant est libre
De lui prendre la main, son cœur sacré,
Ce cœur qui transperce l’aube, amen.
Et quand je crois être complètement remplie,
Il me remplit encore.
REVENGE – La revanche
Je suis bouleversée
Célébrons ce moment
Viens, trésor, n’hésite plus,
J’avais besoin de toi, tu t’es évaporé
J’étais délaissée.
Oh, mais les tables ont tourné, à moi de jouer
Je crois que je vais pouvoir prendre ma revanche.
Une douce revanche.
Je pensais qu'on pouvait lire facilement en toi,
Mais un retard digital a obscurci
Et déporté mon regard sur ton jeu pernicieux
Et le sablier et la prise du temps se sont écoulés, écoulés,
Alors mieux vaut y faire face.
Ah, cette chose a ruiné cette chance,
Je ne sais pas comment la remplacer par la revanche.
Oh, une douce revanche.
Je t’ai offert une montre, bébé
Tu ne me donnais même pas l’heure dans la journée.
Tu veux savoir ce qui me fait avancer ?
Maintenant je n’ai plus grand-chose à te dire
Car les fantômes de notre amour se sont desséchés, ils sont morts,
Plus la peine de tricher.
Ce soir tous les esprits vont te hanter
Il est grand temps,
J’ai pris ma revanche.
Une douce revanche,
Ma revanche, ma revanche.
Tout l’or et l’argent du monde
Ne pouvaient valoir plus que l’amour que je te portais,
C’est impalpable
Je ne resterais pas si j’étais toi
Personne n’a rien à y gagner.
Fini les baisers.
Tu ne me laisses pas d’espace dans ton petit navire
Tu n’en auras plus besoin, ce petit navire, tu n’en auras plus besoin.
Tu vis sur ma cadence, mon cher
Ma revanche,
Une douce revanche, une douce revanche, une douce revanche.
SEVEN WAYS OF GOING
Sept façons de s’en aller
J’ai sept façons de m’en aller,
Sept façons de me retrouver.
Sept visages différents, sept douces façons de Te servir.
Seigneur, je chante tes louanges, car Tu m’as élevée,
Tu m’as réveillée et m’a sortie de mon iniquité.
J'ondulais dans la nuit d’un imposteur lubrique
Immergée dans un rêve où je déchirais des coutures,
Où je rachetais le rocher du bien.
Balayés par les mers de Galilée et les Sept Collines de Rome,
Sept péchés furent essorés de ma vue.
J’ai tourné la tête vers la Maison,
J'ai tendu mes bras vers Toi, et nous avons fait converger nos vies
Puis tu as relâché ton étreinte et m’a laissé partir vers la lumière éternelle.
Durant ce grand passage, je convulse sept fois pour de vrai.
J’ai sept façons de m’en aller, sept façons de Te servir.
Tandis que je traverse sept niveaux,
Tandis que je marche sur l’ardoise,
Tandis que je Te déclare
Le nombre de mes mouvements
Tandis que je réfléchis, le huitième
Recherche l’amour sans exception
Une lumière qui éclaire l’essaim,
A la recherche de l’amour sans exception,
Un saint, sous n’importe quelle forme.
CITIZEN SHIP – Le navire citoyen
Oh, ce n’était rien, peu m’importait
Ah, il y avait des tanks dehors et des enfants dans les rues.
Ils jetaient des pierres contre les tanks, une émeute.
Je n’ai pas de passeport, je n’ai pas de véritable nom,
Je n’ai pas d’opportunité, de loisirs, de rencontrer la chance et la renommée
Et j’erre dans ces rues sans fin, allez-vous me faire monter ?
M’embarquer à bord de votre navire de la citoyenneté ?
Il y avait des émeutes à Chicago, ça bougeait à LA
1968, les Yardbirds se sont séparés, nous aussi, on s’est déchiré.
En clandestins, à la frontière du MC, au pied du mur.
Le mur, le mur, vos papiers s’il vous plaît !
Sur le navire de la citoyenneté, ils se souviennent
Apatrides, ils ont honte
Le navire de la citoyenneté part à la dérive
On passe à côté de la bouée, exilé, ce naufragé.
Au fond d’une impasse à New York, avec le réconfort d’un inconnu,
Quand tu as faim, tu n’es pas trop regardant avec ce qu’on te donne à manger.
Les hommes en uniforme m’ont donné du vinaigre, une cuillère de misère
Mais quoi ?
Je suis tombé, je suis tombé, et ça m’est égal.
Dans le navire de la citoyenneté, on se souvient,
Dans le navire de la citoyenneté, la peine part à la dérive
On ferme les yeux sur le naufragé exilé.
J’étais pris comme un papillon aux ailes désynchronisées,
Ils ont coupé les amarres par-dessus-bord, je suis un réfugié.
Lady Liberté, tendez-moi une main, j’ai dérivé,
Dérivé, dérivé, dérivé, dérivé, dérivé, dérivé.
Sur le navire de la citoyenneté, ils se souviennent
Sur le navire de la citoyenneté, on a mal
Tu lâches du mout au navire de la citoyenneté
Tu fais naufrage, tu es un naufragé.
Sur le navire de la citoyenneté, ils se souviennent
Sur le navire de la citoyenneté, on a mal
Sur le navire de la citoyenneté, tu as une identité,
Un nom, un nom, un nom, un nom ….
Comment tu t’appelles, petit ?
Comment tu t’appelles,
Comment tu t’appelles ?
Ton nom, quel est ton nom ?
Rien, non, je ne possède rien ici-bas.
Notez bien ceci, Jersey.
Donnez-moi vos pauvres gens entassés, vos déchirures de guerres,
Toutes vos mers déchaînées
Donnez-moi votre guerre déchirée sur les rives de l’aube
Faites jaillir votre aurore, votre aurore pour moi
Ah, tout n’est que mythologie.
BROKEN FLAG – Le drapeau déchiré
Elle hoche la tête malgré le faible éclairage,
Elle salue les passants dans le métro
Elle va et vient en reprisant.
Le pays pleure un rouge pâle
Un fil de désespoir venu d’Alger,
Un fil de désespoir venu d’Alger,
Elle continue de tisser malgré les yeux ternes,
Car ce qui se déchire se raccommode.
Le tissu déchiré est réparé et
Le rêve qu’elle tisse ne finit jamais
Car nous marchons vers Alger,
Car nous marchons vers Alger.
Elle fredonne la berceuse malgré le départ du bébé,
Cette berceuse est une chanson brisée.
Oh, le berceau, c’était notre appel,
Tant qu’il se balançait, on continuait
Et on marchait pour Alger
Car on marchait pour Alger
Nous marchons toujours pour Alger
Toujours, toujours pour Alger
Et pas pour saluer un ciel stérile.
Le tissu déchiré verse des larmes rouges
Le voile du deuil porte haut
Un champ d’étoiles et de larmes que nous avons versées
Dans le ciel, un drapeau déchiré.
Les enfants lèvent les bras en saluant
Nous partirons mais eux continuerons
Encore, encore et encore.
WAVE – Le salut
Salut, salut, ça faisait longtemps que je te courais après
Je, je te regardais depuis …
En fait, je te regarde depuis longtemps
J’aime bien te regarder quand tu …
Quand tu arpentes la plage
Et l’état de tes vêtements
J’aime bien, j’aime bien voir les bords du tissu et le derrière, tout mouillés,
Quand tu marches près de l’eau
C’est vraiment sympa de parler avec toi.
Je ne …. Je ……
Comment vas-tu ? Comment vas-tu ?
Je … Je t’ai vu à la fenêtre de ton balcon
Tu étais là, à saluer tout le monde de la main.
C’était vraiment super car il y avait à peu près
Un milliard de gens, mais quand moi je t’ai salué
Euh … l’expression de ton visage était …
Ça m’a fait comme si nous …
Ce n’était pas comme si tu ne saluais que moi, mais
Comme si, comme si on se saluait mutuellement
Vraiment, c’était vraiment merveilleux.
J’étais vraiment heureuse.
Ça me rendait vraiment heureuse.
Et, euh .., je voulais juste te remercier
Parce-que, hum, tu …
Vraiment, tu … tu me fais me sentir bien.
Et … oh, je … non, rien.
Je, euh … je suis juste maladroite.
Non, ce n’est qu’un pansement.
Non, tout va bien.
Oh, non, quelle idiote je fais !
Il m’arrive toujours quelque chose
Alors … à bientôt !
Oui, au revoir !
Je salue ta beauté
Je salue ta grandeur
Je salue ta musique
Je salue ta pureté
(Oh albino)
(Oh albino)
Je salue ta grandeur
Je salue cette ville.
Au revoir,
Au revoir monsieur
Au revoir papa
HYMN – Hymne
Quand je suis tourmentée dans la nuit
Il vient me réconforter.
Dans l’obscurité il me désire
Et l’enfant insignifiant est libre
De lui prendre la main, son cœur sacré,
Ce cœur qui fend l’aube, amen.
Et quand je crois être complètement remplie,
Il me remplit encore.