WHERE THE SOUR TURNS TO SWEET

Où l’amertume tourne à la douceur

On t’attend, viens nous rejoindre

On a besoin de toi, viens nous rejoindre.

Fouille dans ton âme,

Regarde l’obscurité qui s’en va en rampant.

Je vois la douceur là-bas,

Où le soleil s’immisce lentement

Et remplit ton âme d’amour,

Et où tu découvres le monde d’une gloire future.

Quand l’amertume tourne à la douceur

Tu peux te retrouver.

Enlève ta carapace affreuse et ridicule

Pour te fondre dans les flammes flamboyantes.

Vois-tu le changement ?

Regarde tes yeux, et écoute à présent.

On t’attend, viens nous rejoindre,

On te veut parmi nous, viens nous rejoindre.

Peins ton visage en blanc,

Montre cette paix qui est en toi

Qui dérive vers cette terre où se termine l’arc-en-ciel

Tandis que se consume le safran.

Vois-tu le changement ?

Je vois tes yeux en gros plan.

On t’attend, viens nous rejoindre

On a besoin de toi, viens nous rejoindre.

On t’attend, viens nous rejoindre

Je vois tes yeux en gros plan.

On t’attend, viens nous rejoindre

On a besoin de toi, viens nous rejoindre.

On t’attend, viens nous rejoindre.

 

IN THE BEGINNING – Au commencement

Un océan de mouvements

Qui se tortille dans tous les sens

Qui rapproche les montagnes

Puis les fait partout se disperser.  

C’est le son d’un monde nouveau

Et la lumière née d’un ciel curieux.

Ça a commencé,

Tu es entre les mains de la destinée.

Il cogne avec violence,

Il crache sa lave dans tous les sens,

Une fournaise de frénésie

Qui brûle d’une incontrôlée puissance.

C’est le son d’un monde nouveau

Et la lumière née d’un ciel curieux.

Ça a commencé,

Tu es entre les mains de la destinée.

Est-ce le chariot remplit de pièces d’or ?

Est-ce un prince du paradis sur terre ?

Est-ce le grondement d’un orage ?

C’est mon monde et il attend d’être couronné.

Père, fils, regardez vers le bas avec joie,

C’est la vie qui commence.

Un océan de mouvements

Se tortille dans tous les sens

Il rapproche les montagnes

Puis les fait partout se disperser. 

C’est le son d’un monde nouveau

Et la lumière née d’un ciel curieux.

Ça a commencé,

Tu es entre les mains de la destinée.

Est-ce le chariot remplit de pièces d’or ?

Est-ce un prince du paradis sur terre ?

Est-ce le grondement d’un orage ?

C’est mon monde et il attend d’être couronné.

Père, fils, regardez vers le bas avec joie,

C’est la vie qui commence.


FIRESIDE SONG – La chanson du coin du feu

Quand l’aurore chasse le brouillard qui recouvre la terre

Se dévoile cette beauté installée là pour longtemps encore.

Et quand la brume s’accroche aux choses à venir,

Se dévoile ce solide rocher, qui se morcelle, pour une vie plus modeste.
Autrefois, tout était confusion,

Déception, crainte et désillusion.

Aujourd’hui, avec chaque matin renaît l’espoir.

Et je vois clairement l’aube de l’avenir,

Qui dérive lentement vers un vide brumeux

Tandis que l’eau glisse dans l’océan

Le père est triste de le voir libre.  

Quand les ombres rampent vers leur nuit-maîtresse,

Se dévoilent ces arbres qui défient le vent qui fait trembler leurs feuilles.

Et quand la paix est partout descendue,

Alors les créatures de la nature sont arrivées pour affronter le monde.
Autrefois, tout était confusion,

Déception, crainte et désillusion.

Aujourd’hui, avec chaque matin renaît l’espoir.

Et je vois clairement l’aube de l’avenir,

Qui dérive lentement vers un vide brumeux

Tandis que l’eau glisse dans l’océan

Le père est triste de le voir libre. 

Autrefois, tout était confusion,

Déception, crainte et désillusion.

Aujourd’hui, avec chaque matin renaît l’espoir.

Et je vois clairement l’aube de l’avenir,

Autrefois, tout était confusion,

Déception, crainte et désillusion.


WINDOW – La fenêtre

Lentement j’étire mes bras en toute liberté

Les ombres de la nuit disparaissent.

Je sors d’un abîme de découragement,

Je trouve le chemin

Qui nous guide à travers les pâturages d’une rêverie,

Et devant moi, des jours de joie, la paix que j’ai connue autrefois,

Jusqu’au matin, de l’aube au crépuscule, sur les collines.

 Viens me voir, et prend moi la main.

Viens me rejoindre sur mes terres.

Regarde-moi voler, très haut, invisible,

Dans ce ciel merveilleux, je serai

 Confiant et serein en l’amour que j’ai découvert.

Ma longue quête est terminée, l’âme est dévoilée,

Elle repose sur cette joie qui abonde sans jamais s’arrêter,

En disant adieu aux peurs qui se dissipent à présent.

Viens me voir, et prend moi la main.

Viens me rejoindre sur mes terres.

Elle est assise là-haut sur la crête dorée d’une vague,

Les petites nymphes dansent dans ses cheveux.

Les arbres font signe au ciel pour qu’il bénisse leurs vies inutiles

Les horizons y viennent siroter du vin,

La brume voilée dévoile le navire qui erre sur les récifs,

Les albatros volent vers la poupe

Et seul l’hiver gelé a vu le baiser qu’en retour tu lui as donné.

En traversant les montagnes de la vérité

Je les vois planer haut et soudain

S’arrêter à la lueur du phare qui clignote

La foudre me réveille et tombe près de moi

Elle ébranle la scène et créé le chaos dans la beauté

Et nous transporte vers notre destinée.

Les ombres de la nuit disparaissent.

Je sors d’un abîme de découragement,

Je trouve le chemin

Qui nous guide à travers les pâturages d’une rêverie,

Et devant moi, des jours de joie, la paix que j’ai connue autrefois,

Jusqu’au matin, de l’aube au crépuscule, sur les collines.

Viens me voir, et prend moi la main.

C’est une vue d’un nouveau monde,

Viens me voir, et prend moi la main.

C’est une vue d’un nouveau monde,

Viens me voir, et prend moi la main.

C’est une vue d’un nouveau monde,

Viens me voir, et prends-moi la main.

THE SERPENT

Le serpent

 

Les nuits sombres et les planètes plantent le décor
Le Créateur se prépare pour l’aube de l’humanité.

Tu te réveilles, le jour de l’Incarnation

T’a dit que tu t’éveilles à la vie.
Ces images qu’il a fabriquées pour l’amour,

Ces images de Dieux en chair et en os,

L’homme est merveilleux, vraiment merveilleux,

Regardez-le,

Prenez garde au futur. 

Ceci est mon monde et il m’attend.

Le paradis est devant mes yeux

Je suis en vie dans un monde tout nouveau.

Ce paradis sera le mien pour toujours.

Je me réveille, le jour de l’humanité est arrivé,

Je me réveille, le jour de l’humanité est arrivé.

Et Dieu a créé l’homme avec de la poussière

Et lui a mis une âme dans son moule.

Et Dieu a créé la femme,

Vaisseau de l’emprise de Satan.

Le Créateur a mis la sagesse dans le serpent

Mais avec le démon dans ses yeux tentateurs.

L’homme est merveilleux, vraiment merveilleux,

Regardez-le,

Prenez-garde au futur.

Ceci est mon monde et il m’attend.

Le paradis est devant mes yeux

Je suis en vie dans un monde tout nouveau.

Ce paradis sera le mien pour toujours.

Je me réveille, le jour de l’humanité est arrivé,

Je me réveille, le jour de l’humanité est arrivé.

Les nuits sombres et les planètes plantent le décor

Le Créateur se prépare pour l’aube de l’humanité.

Tu te réveilles, le jour de l’Incarnation,

Tu t’éveilles à la vie.

Ici-bas je suis comme un enfant dans un monde désert

Je regarde le serpent qui m’attire vers le Mal.

Et j’attends qu’une main vienne me guider,

J’attends qu’une main vienne me guider,

J’attends qu’une main vienne me guider.

 

AM I VERY WRONG ? – Ai-je tort ?

Ai-je vraiment tort

De me cacher derrière les yeux furibonds d’un regard à l’esprit ouvert ?

Ai-je vraiment tort

D’errer dans la peur d’un mensonge qui ne finit jamais ?                                       
Ai-je vraiment tort

D’essayer de fermer mes oreilles à ce son qu’ils jouent si fort ?

Ai-je vraiment tort ?

La machine du bonheur s’efforce de chanter ma chanson.

Aujourd’hui c’est l’anniversaire de ton ami

Tout va bien.

Laisse-nous t’adresser nos meilleurs vœux,

Ami heureux,

Tout va bien,

Nous espérons que ta vie ne s’éteindra jamais.
Ai-je vraiment tort

De vouloir voler une aiguille pour vérifier que j’ai bien une peau ?

Ai-je vraiment tort

De vouloir quitter mes amis et la malédiction de cette machine à bonheur ?

Aujourd’hui c’est l’anniversaire de ton ami

Tout va bien.

Laisse-nous t’adresser nos meilleurs vœux,

Ami heureux,

Tout va bien,

Nous espérons que ta vie ne s’éteindra jamais.

 

IN THE WILDERNESS

Dans la nature sauvage


En laissant le monde entier jouer

Ils disparaissent.

Et les feuilles ont ramassé toute la poussière pour courir comme les cerfs.

En arrachant des bribes de nos vies pour nourrir l’aube,

La brume entoure les mouettes,

Baptisées par l’orage.
La musique, tout ce que j’entends,

C’est de la musique … assurée de plaire

Et je cherche autre chose

Les gouttes de pluie qui se déversent sur les toits

Qui coulent dans les canalisations

Pendant que les gens courent après leurs vies

Et que leurs vies sont consumées par le temps.
En combattant les ennemis avec des armes faites pour tuer,

La mort devient facilement un substitut à l’orgueil.

Les vainqueurs se rassemblent, heureux dans leur lit,

En restant indifférent au sort des enfants de la mort.

La musique, tout ce que j’entends,

C’est de la musique … assurée de plaire

Et je cherche autre chose

Les gouttes de pluie qui se déversent sur les toits

Qui coulent dans les canalisations

Pendant que les gens courent après leurs vies

Et que leurs vies sont consumées par le temps.

La musique, tout ce que j’entends,

C’est de la musique … assurée de plaire

Et je cherche autre chose

Les gouttes de pluie qui se déversent sur les toits

Qui coulent dans les canalisations

Pendant que les gens courent après leurs vies

Et que leurs vies sont consumées par le temps.

La musique, tout ce que j’entends,

C’est de la musique … assurée de plaire

Et je cherche autre chose

Les gouttes de pluie qui se déversent sur les toits

Qui coulent dans les canalisations

Pendant que les gens courent après leurs vies

Et que leurs vies sont consumées par le temps.


IN LIMBO – Dans les limbes

Je t’en prie, emmène-moi loin d’ici,

Emmène-moi,

Emmène-moi.

Emmène-moi

Vers l’astre le plus lointain dans le ciel.

Emmène-moi

Vers les abimes les plus profondes de la nuit

Voix de l’amour, me voici !

Dans le sinistre monde de la peur.

Emmène-moi

Loin de la puissance de mon ambition

Et je serai heureux.
J’ai conquis le temps

Où partirai-je ?

M’appartient-il encore ?

Emmène-moi.

La paix flotte dans les limbes

Les limbes ne me mènent nulle part

Je pleure, quand vais-je mourir ?

Seigneur, où est mon âme à présent ?

Mon monde, je t’en prie, libère-moi.

Paix, qui à présent est immobile,

Je pleure, quand vais-je mourir ?

A PLACE TO CALL MY OWN – Un endroit à moi

Et j’ai presque trouvé un endroit à moi

Je me réveille lentement et je sens sa présence tout près.

Démon brisée, la chaleur est partout.

Je ne suis qu’un de ses enfants, à mon ange gardien.

A présent, dans son utérus, mon voyage touche à sa fin

Et je pense avoir trouvé un endroit à moi.


THE CONQUEROR

Le conquérant

Il grimpe à l’intérieur du miroir

Et pointe du doigt tout ce qu’il déteste.

Il est du genre à te dire

« Eh, fais gaffe, fils,

C’est un fusil qu’ils pointent vers ta jolie petite tête ».

Et les têtes roulent

Car le conquérant arrive,

Et le jour du jugement est arrivé,

Car le conquérant arrive.

Cinq cents petites femmes frappent

A la porte du héros.

Oui, leur héros travaille vingt-quatre heures sur vingt quatre

Il se tortille sur un sol nu.

Et les têtes roulent

Car le conquérant arrive,

Et le jour du jugement est arrivé,

Car le conquérant arrive.

Il a acheté le château sur la colline

Il l’a acheté pour le détruire.

Les autorités locales l’ont injurié

En lui disant qu’il n’était qu’un clown écervelé.

Et les têtes roulent

Car le conquérant arrive,

Et le jour du jugement est arrivé,

Car le conquérant arrive.

Il ne cesse de construire des monuments

Pour se cacher dans sa tombe vide.

Toi là-bas, trouves-tu quelques âmes ?

Il cherche des gens à sauver.

Et les têtes roulent

Car le conquérant arrive,

Et le jour du jugement est arrivé,

Car le conquérant arrive.

Les mots de l’amour le tuent

Le conquérant arrive

Et les mots de l’amour étaient écrits sur un sol nu

Juste à l’endroit où gît le conquérant.

 

IN HIDING – En me cachant

Je me ramasse,

Je redescends,

Je me bouscule,

Je change d’avis,

Je me rallume,

Je me laisse aller

J’ai ma propre opinion.
En me cachant

Loin de la cité des ténèbres,

Et des usines à vérité,

Je suis sur la montagne,

A un million de kilomètres de chez moi

Et des visages de la peur,

J’ai la liberté de penser.

En me cachant,

Je peux ôter les vêtements

Que je porte sur mon visage.

Je flotte sur une rivière

A un million de kilomètres des plaines

Qui transpercent les nuages

Je mes perds dans la beauté,

En me cachant.

Je me ramasse,

Je redescends,

Je me bouscule,

Je change d’avis,

Je me rallume,

Je me laisse aller

J’ai ma propre opinion.

En me cachant,

Je ne parle plus,

Je suis libéré de mon passé

Je marche parmi les grands arbres,

C’est ça la beauté, je le sais.

J’en suis amoureux.

J’ai la liberté d’aimer,

En me cachant.

Je me ramasse,

Je redescends,

Je me bouscule,

Je change d’avis,

Je me rallume,

Je me laisse aller

J’ai ma propre opinion.

En me cachant,

Je peux ôter les vêtements

Que je porte sur mon visage.

Je flotte sur une rivière

A un million de kilomètres des plaines

Qui transpercent les nuages

Je mes perds dans la beauté,

En me cachant.

ONE DAY – Un jour

 

Ne te méprends pas,

Je crois que je suis amoureux

Mais le sens de ce mot est bien plus grand

Que tes yeux de cristal

Veulent bien voir en moi.
Ne te méprends pas,

Ouvre les yeux

Je ne peux pas te montrer mon cœur,

Mais tant que tu resteras près de moi,

Je continuerai d’espérer.  

Un jour, je te capturerai,

Et t’appellerai à mes côtés.

Un jour, je t’emmènerai loin

De l’ennui de nos vies.

Un jour, nous nous envolerons

Vers le royaume de mes rêves.

Un jour, je me retrouverai,

Et cet être, je l’emballerai dans l’amour que j’ai pour toi.
Oiseaux du ciel,

Puis-je vous emprunter vos ailes ?

Car je vais bientôt demander à l’amour de ma vie

De voyager avec moi vers le monde extérieur.

Cerisiers, puis-je vous emprunter vos fleurs ?

Car je vais bientôt demander à l’amour de ma vie

De venir rejoindre le nid que j’aurai bâti tout seul.

Animaux amis,

Aidez-moi à décider

A quel moment devrais-je demander à mon amour de nous en aller ?

Je vous implore qu’elle me dise oui.

Je prends une grande inspiration,

Le moment est venu.

Elle me regarde et me sourit doucement,

Comme si elle avait toujours su

Ce que je lui demanderai.

Un jour, je te capturerai,

Et t’appellerai à mes côtés.

Un jour, je t’emmènerai loin

De l’ennui de nos vies.

Un jour, nous nous envolerons

Vers le royaume de mes rêves.

Un jour, je me retrouverai,

Et cet être, je l’emballerai

Dans l’amour que j’ai pour toi.

SILENT SUN – Soleil muet

Soleil muet qui ne brille jamais,

Elle est la chaleur de mon cœur solitaire,

Le mouvement d’une grande roue

Peux-tu l’arrêter et regarder autour de toi ?

Bébé tu te sens si proche,

J’espère que tu as pu te rendre compte de mon amour,

Tu as changé ma vie bébé

J’essaie de te le montrer ….

Une pierre minuscule qui se cache de moi

Ne vois-tu pas qu’elle me dévoile ?

Ce ruisseau de montagne qui fait frissonner la mer

Ne le ressens-tu pas dans ton inutile orgueil ?
Bébé tu te sens si proche,

J’espère que tu as pu te rendre compte de mon amour,

Tu as changé ma vie bébé

J’essaie de te le montrer ….

Quand la nuit révèle un ciel rempli d’étoiles

J’ai envie de le tenir dans mes mains,

Quand les flocons de neige pansent le sol hideux,

Ta beauté cache la joie que j’ai trouvée.

Bébé tu te sens si proche,

J’espère que tu as pu te rendre compte de mon amour,

Tu as changé ma vie bébé

J’essaie de te le montrer ….