CHANGES - Des changements

 

J’ignore encore ce que j’espérais

Et ma vie traversait à toute vitesse

Des millions de voies sans issue.

Chaque fois que je pensais avoir atteint mon but

Le goût de la réussite ne semblait pas si doux. 

Alors j’ai fini par me regarder en face,

Mais je n’ai jamais pu saisir la façon

Dont les autres voyaient l’imposteur,

Je suis bien trop impatient pour essayer.   

Ch-ch-ch-ch-changements, (j’affronte l’inconnu)

Ch-ch-ch-ch-changements (je n’ai pas envie d’être plus riche)

Ch-ch-ch-ch-changements, (j’affronte l’inconnu)

Ch-ch-changements, je dois juste être différent.

Le temps peut me changer,

Mais je ne peux pas remonter le temps.

Je regarde les ondulations changer de volume

Sans jamais quitter le ruisseau de cette tiède impermanence

Les jours flottent à travers mes yeux

Et pourtant, ils ne changent jamais.

Et ces enfants sur lesquels on crache,

Quand ils essaient de changer leurs mondes,

S’immunisent contre nos concertations.

Ils savent très bien ce qu’ils traversent.

Ch-ch-ch-ch-changements, (affronte l’inconnu)

Ch-ch-changements, ne leur dis pas de grandir pour s’en sortir

Ch-ch-ch-ch-changements, (affronte l’inconnu)

Ch-ch-changements, vous n’avez pas honte ?

Vous nous avez mis dedans jusqu’au cou

Le temps peut me changer

Mais on ne peut pas remonter le temps.

C’est une étrange fascination, elle me fascine.

Je règle mon pas sur le rythme des changements

Ch-ch-ch-ch-changements, (j’affronte l’inconnu)

Ch-ch-changements, oh, méfiez-vous, les rockeurs !

Ch-ch-ch-ch-changements, (j’affronte l’inconnu)

Ch-ch-changements, la vieillesse va très vite vous rattraper

Le temps peut me changer,

Mais je ne peux pas remonter le temps.

Oui, le temps peut me changer,

Mais je ne peux pas changer le temps.

 

OH, YOU, PRETTY THINGS 

Oh, vous, les jolies choses

 

Réveille-toi, tête endormie

Habille-toi, secoue ton lit

J'ai mis une bûche neuve dans la cheminée

J’ai préparé le petit déjeuner et du café.

Je regarde par la fenêtre et je vois

Un trou dans le ciel et une main qui se tend vers moi

Tous les cauchemars surgissent aujourd’hui

Et ils semblent bien disposés à s’installer.

Où en sommes-nous ?

Il n’y a pas de place pour moi, pas de plaisir pour toi.

Je pense à un monde en devenir,

Où les livres sont découverts par les Golden Ones,

Ecrits dans la douleur, écrits dans un émerveillement apeuré

Par un homme troublé qui s’est demandé

A quoi on travaille ici-bas.

Tous ces inconnus sont arrivés

Et ils ne semblent pas disposés à s’en aller.

Oh Vous, les Jolies Choses (Oh Vous les Jolies Choses)

Qui rendez dingues vos parents

Oh Vous, les Jolies Choses (Oh Vous les Jolies Choses)

Qui rendez dingues vos parents

Je vous le dis clairement

Vous ouvrez la voie à l’Homo Superior

Regardez vos enfants

Regardez leurs visages parés de rayons dorés

Ne vous y trompez pas, ce sont bien les vôtres

Ils sont les prémisses d’une race émergeante

La Terre est une garce

Notre actualité est finie

Homo Sapiens l’a surexploitée

Tous ces inconnus sont arrivés

Et ils ne semblent pas disposés à s’en aller.

Oh Vous, les Jolies Choses (Oh Vous les Jolies Choses)

Qui rendez dingues vos parents

Oh Vous, les Jolies Choses (Oh Vous les Jolies Choses)

Qui rendez dingues vos parents

Je vous le dis clairement

Vous ouvrez la voie à l’Homo Superior.

 

EIGHT-LINE POEM – Le poème de huit lignes

 

Le cactus plein de tact, près de ta fenêtre,

Sonde la prairie de ta chambre,

Le mobile tourne en se cognant,

Clara met sa tête entre ses pattes,

Les boutiques sont ouvertes à l’Ouest de la ville,

Tous les cactus trouveront-ils un foyer ?

Mais la clé qui ouvre vers la ville

Est dans le soleil qui pointe les branches vers le ciel.

 

FILL YOUR HEART – Remplis ton cœur

 

Remplis ton cœur d’amour dès maintenant

Ne fais pas le jeu du temps

Les choses du passé

N’ont existé que dans ta Tête

Que dans ta Tête, oublie-la ta Tête

Et tu seras libéré

C’est écrit sur les murs

Oui, libéré et, si tu le veux vraiment, tu peux tout savoir.

Souviens-toi que les amants ne sont jamais perdants

Car ils sont dépourvus de toute pensée impure

Et de pensées malsaines.

La douceur lave l’âme

L’amour nettoie la tête

Et libère, te rend libre.

Oh, le bonheur arrive,

Les dragons ont saigné

La douceur est partout

La peur n’est que dans ta Tête

Rien que dans ta Tête

Alors oublie-la, ta Tête

Et tu seras libéré

C’est écrit sur les murs

Oui, libéré et, si tu le veux vraiment, tu peux tout savoir.

Souviens-toi que les amants ne sont jamais perdants

Car ils sont dépourvus de toute pensée impure

Et de pensées malsaines.

La douceur lave l’âme

L’amour nettoie la tête

Et libère, il te rend libre.

Libre, libre ….

LIFE ON MARS ? – La vie sur Mars ?

 

C’est une sale petite affaire

Pour cette fille aux cheveux ternes.

Sa mère lui hurle « NON » !

Et son père lui a dit de partir.

Mais son amie est introuvable

Alors elle traverse son rêve englouti

Pour s’assoir face à la meilleure vue

Et s’accroche à cet écran d’argent.

Mais le film est d’un ennui affligeant

Car elle l’a déjà vécu des dizaines de fois

Elle pourrait cracher à la face des abrutis

Qui lui demande de se concentrer sur …

Les marins qui se battent dans la salle de bal

Oh mais regarde-les, ces hommes des cavernes,

C’est le spectacle le plus dingue.

Regarde l’homme de loi

Qui tabasse le mauvais gars

Oh mais je me demande s’il se rend compte

Qu’il est dans l’émission qui se vend le mieux !

Y-a-t-il une vie sur Mars ?

C’est sur le front soucieux de l’Amérique

Que Mickey Mouse est devenu une vache.

Les ouvriers font grève pour la gloire

Car Lennon fait encore recette

Regarde ces hordes de millions de souris

D’Ibiza à Norfolk Broads

Rule ! Brittania ! dépasse les frontières

Pour ma mère, mon chien et les clowns

Mais le film est d’un ennui affligeant

Je l’ai déjà écrit des dizaines de fois

Et il va encore se répéter

Quand je lui demanderai de se concentrer sur …

Les marins qui se battent dans la salle de bal

Oh mais regarde-les, ces hommes des cavernes,

C’est le spectacle le plus dingue.

Regarde l’homme de loi

Qui tabasse le mauvais gars

Oh mais je me demande s’il se rend compte

Qu’il est dans l’émission qui se vend le mieux !

Y-a-t-il une vie sur Mars ?

KOOKS – Les dingos

 

Vas-tu rester dans notre histoire d’amour ?

Si tu restes, tu n’as pas à t’inquiéter,

Car on croit en toi.

Bientôt tu seras grand, alors tente ta chance

Avec un couple de Dingos

Qui s’accrochent à la romance.

Vas-tu rester dans notre histoire d’amour ?

Si tu restes, tu n’as pas à t’inquiéter,

Car on croit en toi.

Bientôt tu seras grand, alors tente ta chance

Avec un couple de Dingos

Qui s’accrochent à la romance.

Nous avons acheté plein de choses

Pour te tenir au chaud et au sec

Ainsi qu’un vieux berceau rigolo

Dont la peinture ne veut pas sécher.

Je t’ai acheté une paire de chaussures,

Une trompette dans laquelle tu peux souffler

Et un livre des règles

De ce qu’il faut répondre aux gens

Qui te critique,

Car si tu restes avec nous, tu vas devenir un doux Dingue toi aussi

Vas-tu rester dans notre histoire d’amour ?

Si tu restes, tu n’as pas à t’inquiéter,

Car on croit en toi.

Bientôt tu seras grand, alors tente ta chance

Avec un couple de Dingos

Qui s’accrochent à la romance.

Et si tu dois aller à l’école

N’oublie pas la façon dont ils ont brutalisé

Ce vieil imbécile.

Ne riposte pas face aux voyous ou aux cadors

Car je ne suis pas du genre justicier en me battant avec les autres papas.

Et si les devoirs te dépriment

On les jettera au feu

Et on ira faire un tour en ville.

Vas-tu rester dans notre histoire d’amour ?

Si tu restes, tu n’as pas à t’inquiéter,

Car on croit en toi.

Bientôt tu seras grand, alors tente ta chance

Avec un couple de Dingos

Vas-tu rester dans notre histoire d’amour ?

Si tu restes, tu n’as pas à t’inquiéter,

Car on croit en toi.

Bientôt tu seras grand, alors tente ta chance

Avec un couple de Dingos.

 

QUICKSAND – Les sables mouvants

 

Je me rapproche de l’Aube Dorée

Immergé dans l’uniforme de Crowley

Et de son imagerie.

Je vis dans un film muet

En incarnant le royaume sacré d’Himmler

D’une réalité rêvée.

Je suis effrayée par la solution finale

Qui mène à ce trou déchiqueté

Et je n’ai plus aucun pouvoir

Non, je n’ai plus aucun pouvoir.

Je suis le nom déformé

Dans les yeux de Garbo,

La preuve vivante des mensonges de Churchill.

Je suis la destinée

Je suis déchiré entre la lumière et l’obscurité

Là où d’autres y voient leurs cibles,

Divine symétrie.

Devrais-je embrasser les crochets du serpent,

Ou bien proclamer haut et fort

La mort de l’Humanité ?

Je m’enfonce dans les sables mouvants

De ma pensée

Et je n’ai plus aucun pouvoir.
Je ne crois pas en toi

Je ne suis pas aveuglé par la foi

La connaissance vient quand la mort surgit.

Je ne suis pas un prophète

Ni un homme d’un autre âge

Je ne suis qu’un mortel

Doté du potentiel d’un surhomme.

Je suis vivant.

Je suis attaché à la logique de l’Homo Sapiens.

Je ne peux détacher mes yeux

Du grand salut de cette foi de pacotille.

Si je ne t’explique pas ce que tu dois savoir

Toi, tu peux tout me dire sur le prochain Bardo

Je m’enfonce dans les sables mouvants

De ma pensée,

Et je n’ai plus aucun pouvoir.

Je ne crois pas en toi

Je ne suis pas aveuglé par la foi

La connaissance vient quand la mort surgit.

Je ne crois pas en toi

Je ne suis pas aveuglé par la foi

La connaissance vient quand la mort surgit.

ANDY WARHOL – Andy Warhol

 

J’aime bien manier la colle à ciment

Être un film sur pieds

Je déguise mes amis juste pour rigoler

Je les vois tels qu’ils sont vraiment.

J’implante un judas dans mon cerveau

Deux autres pence pour essayer

J’aime bien, tel une galerie,

Te mettre tout entier dans mon expo.

Andy Warhol est comme un hurlement

Je l’accroche à mon mur

Andy Warhol, Silver Screen

Je n’arrive pas à les différencier.

Andy qui marche, Andy fatigué,

Andy qui pique un somme,

Je l’attacherai quand il sera bien endormi

Je l’enverrai faire une agréable croisière

Quand il se réveillera en mer

Pour être sûr qu’il pensera à toi et moi

Il pensera à la peinture et à la colle

Voilà une jolie chose bien ennuyeuse pour se distraire.  

Andy Warhol est comme un hurlement

Je l’accroche à mon mur

Andy Warhol, Silver Screen

Je n’arrive pas à les différencier.

Andy Warhol est comme un hurlement

Je l’accroche à mon mur

Andy Warhol, Silver Screen

Je n’arrive pas à les différencier.

 

SONG FOR BOB DYLAN 

Chanson pour Bob Dylan

 

Oh, écoutez-ça, Robert Zimmerman !

J’ai écrit une chanson pour vous

Sur un étrange jeune homme

Qui s’appelle Dylan,

Il a une voix sableuse et gluante,

Ses mots, d’une vengeance tellement sincère,

Qu’ils peuvent nous clouer au sol.

Ils captivent toujours plus d’auditeurs

Et provoquent de la peur chez beaucoup d’autres.

Ah, la voilà, la voilà, la revoilà,

Cette fameuse jeune fille peinte,

Surgie du front d’un génie.

Elle réduit ce monde en mille morceaux,

Et elle devient notre amie.

Mais quelques chansons

Surgies de ton vieux carnet,

Suffiraient à la faire rentrer chez elle.

Tu as laissé ton cœur dans chaque chambre d’étudiant,

Au moins une photo sur mon mur,

Tu t’es assis derrière des millions d’yeux

Et tu leur as montré comment il fallait regarder.

Puis nous avons perdu notre train de pensées,

Toutes les peintures sont les tiennes.

Quand surgissent les tourments

Mieux vaut avoir peur ensemble que seul.

Ah, la voilà …

Ecoutez-moi, Robert Zimmerman.

On ne se rencontrera probablement jamais,

Mais demandez à votre bon ami Dylan

S’il pouvait jeter un coup d’œil

A cette vieille ruelle.

Dites-lui que nous avons perdu ses poèmes,

Même s’ils sont écrits sur les murs.

Redonnez-nous notre unité,

Redonnez-nous notre famille.

Vous êtes le refuge de chaque pays,

Ne nous laissez pas avec leur folie.

Ah, la voilà …..

 

 

QUEEN BITCH – La reine des garces

 

Depuis le onzième étage

J’observe les drag-queens en bas.

Il est là dans la rue,

Et peine vraiment à racoler sœur Flo.

Oh, mon cœur, lui, est au sous-sol

Cette fin de semaine pour moi est déprimante.

Elle espère bien choper

Et je ne peux pas la voir le laisser s’éloigner,

S’éloigner de son cœur,

S’éloigner de son âme

Oh non pas elle !

Elle est si chic dans son satin et ses breloques,

Avec sa redingote et son chapeau abracadabra

Oh, mon Dieu, je pourrais faire mieux que ça.

Elle est une ambassadrice de longue date

Des doux discours, des jeux nocturnes,

Elle est connue dans les clubs les plus sordides,

Pour faire de l’ombre aux dames.

Si elle dit qu’elle peut le faire, alors elle le fait,

Elle n’a jamais de paroles en l’air.

Mais c’est une drag-queen, de celles

Qui aspirent ton rire dans leurs cerveaux.

Elle va l’emmener et le faire s’allonger vite fait

Oui, elle va l’emmener et le faire s’allonger vite fait.

Mais ça pourrait être moi,

Oui, ça pourrait être moi.

Pourquoi je n’ai pas dit, pourquoi je n’ai pas dit

Non, non, non !

Elle est si chic dans son satin et ses breloques,

Avec sa redingote et son chapeau abracadabra

Oh, mon Dieu, je pourrais faire mieux que ça.

Je m’allonge un moment,

Et je fixe le mur de mon hôtel

Oh, ce lit est si froid

Que j’ai l’impression d’être allongé par terre

Oui, je m’allonge un moment

Et je regarde le mur de mon hôtel.

Il est en bas, dans la rue,

Je jette toutes ses affaires dans le hall

Et j’appelle un taxi.

Car l’estomac me serre,

Et j’ai un goût dans la bouche

Qui n’a aucun goût

Mais ça pourrait être moi,

Oui, ça pourrait être moi.

Pourquoi je n’ai pas dit, pourquoi je n’ai pas dit

Non, non, non !

Elle est si chic dans son satin et ses breloques,

Avec sa redingote et son chapeau abracadabra

Oh, mon Dieu, je pourrais faire mieux que ça.

 

THE BEWLAY BROTHERS – Les Frères Bewlay

 

Alors voilà toute l’histoire.

Leur façon de s’habiller,

Leur façon de parler,

Menaient à l’improbable

A l’énormité d’un mensonge,

Comme ils l’espéraient.

Et les bien-pensants de demain

Avaient les pieds dans la boue
Et leurs têtes toutes en muscle

Etaient joliment rasées.
Et ils savaient acheter leurs positions avec de l’édulcorant et de l’assurance.
Le monde était sourd

A notre tapage latent.
Dans un soupir, tel un tourbillon dans les rues,

Comme la croute du soleil,

Les Frères Bewlay,

Dans nos ailes qui battent d’un bruit sec,

Qui exhibent des dents de cuivre,

Immenses dans la nuit.

Oh, et nous sommes partis

Flanqués de vos hommes de petite taille

Nous étions si bouleversés

Par votre manque de conclusions.

J’étais la pierre et lui la cire

Il était capable de hurler,

Puis aussitôt se calmer, incroyable !
On faisait peur aux enfants qui s’éloignaient

On usait d’un langage désuet,

Et la poussière circulait dans nos veines, mais oui !
Il était minuit, à la porte de la cuisine

Il y eu comme un visage grimaçant

Sur le sol Cathédrale

Et ce livre sérieux que nous avons écrit

On ne le trouve plus aujourd’hui.
Puis ce fut l’époque du Harcèlement

Pour les Garçons de la Lune,

Nous, les Frères Bewlay

Adossés à la voûte

Style « le Diable habite peut-être ici »

Mais il ne peut pas chanter par-dessus.

Oh, et on a disparu,

Tels de vrais gentils traders

Nous étions si allumés

Que vous nous preniez pour des imposteurs.

A présent nos habits sont sur cintre,

Le ticket est en gage

Le facteur max qui prouvait les faits

A fondu désormais,

Et est brodé au coin de mon oreiller.

Et mon Frère gît dans les Rochers

Il est peut-être mort, peut-être pas,

C’est peut-être toi

Il est Caméléon, Comédien, Corinthien et Caricature

Du genre « Tirer des plans sur la comète »

Les Frères Bewlay,

Dans la plaisanterie et la méchanceté

Les Frères Bewlay,

Dans la béatitude et dans l’indifférence

Dans l’obscurité avide de béquilles

C’est là que nous avons uséC nos marques

Oh, et nous avons disparu

Rois de l’oubli

Nous étions si allumés

Dans le pavillon des esprits égarés.

Je me fais de la place et je me fais un gâteau

J’ai un grand appétit pour mon propre jus

J’enlève mes chaussures et je laisse la porte ouverte

Il se peut que je m’éclipse

Juste pour la journée,

Allez, viens avec moi.